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«Bare minimum monday»: pour éviter le burn-out, faites-en le moins possible le lundi

Le «lundi minimum» encourage à démarrer la semaine en douceur pou ménager sa santé mentale et en définitive, gagner en productivité 

Une fois le strict minimum réalisé, l’influenceuse Marisa Jo Mayes conseille de s’adonner à ce que l’on veut: repos, projet créatif, tâches ménagères ou… davantage de travail. © AdobeStock/photo prétexte
Une fois le strict minimum réalisé, l’influenceuse Marisa Jo Mayes conseille de s’adonner à ce que l’on veut: repos, projet créatif, tâches ménagères ou… davantage de travail. © AdobeStock/photo prétexte

Claire Pasquier

Publié le 08.05.2023

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Santé mentale » Pour beaucoup, la semaine a commencé sur les chapeaux de roue ce lundi. D’aucuns auront même eu la boule au ventre dimanche soir rien que d’y penser. Et s’il existait un remède à cette angoisse hebdomadaire? Ce printemps, le lundi minimum (bare minimum monday en anglais) a débarqué sur TikTok et aspire à ménager la santé mentale des travailleurs.

A l’origine de ce concept, l’entrepreneuse Marisa Jo Mayes. «J’ai dû me dire de faire le strict minimum pour ne pas me rendre malade à réfléchir à ma productivité. Je stressais tellement à propos des choses que je devais faire que je finissais par n’en faire qu’une sur toute la journée», explique l’Américaine sur sa chaîne TikTok. Loin d’être fainéante, cette perfectionniste dans l’&a

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