Une petite place à l’espoir
François Choffat, Grandcour
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Les lettres du 30 octobre concernant la guerre de Gaza contiennent des réflexions qui laissent une toute petite place à l’espoir. On ne peut que s’indigner des massacres perpétrés par le Hamas. Mais il faut aussi condamner la violence infligée par Israël sur les populations palestiniennes confinées hors des territoires qui étaient les leurs jusqu’en 1947. Le fanatisme du Hamas fait écho à la folie religieuse des Israéliens au pouvoir avec Netanyahou.
Il me paraît inconcevable que ce gouvernement ait pu ignorer les préparatifs belliqueux du Hamas. A se demander si cette guerre n’était pas voulue pour justifier l’évacuation de la bande de Gaza. Peur, humiliation, fanatisme, haine semblent présents dans les deux camps et alimentent une véritable guerre de religion.
Aucune des deux parties ne semble rechercher la paix.