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Le Belvedere fait peau neuve

Le palais du Belvedere fête ses 300 ans avec une nouvelle exposition permanente qui met en lumière le contexte de production des œuvres

En grand: Elena Luksch-Makowsky, Adolescentia (1903). Puis de haut en bas, Johann Gottfried Auerbach, Prince Eugène de Savoie en commandant militaire (1725/1730), Maria Lassnig, double autoportrait avec caméra (1974) et Egon Schiele, Couple accroupi (la famille) (1918). © Maria Lassnig Stiftung/Johannes Stoll/Belvedere, Wien
En grand: Elena Luksch-Makowsky, Adolescentia (1903). Puis de haut en bas, Johann Gottfried Auerbach, Prince Eugène de Savoie en commandant militaire (1725/1730), Maria Lassnig, double autoportrait avec caméra (1974) et Egon Schiele, Couple accroupi (la famille) (1918). © Maria Lassnig Stiftung/Johannes Stoll/Belvedere, Wien
Le Belvedere fait peau neuve
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Vianey Lorin

Publié le 13.05.2023

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Vienne » Il s’agit sans doute du tableau le plus célèbre d’Autriche: Le Baiser de Gustav Klimt est la pièce maîtresse du Musée du Belvedere. Une étreinte sensuelle, recouverte à la feuille d’or, admirée l’année dernière par plus de 1,2 million de visiteurs. Mais depuis un mois, la toile se découvre avec un nouveau voisinage: trois œuvres de l’artiste russe Elena Luksch-Makowsky, contemporaine de Klimt, viennent lui répondre: «Avec Klimt nous avons la représentation iconique d’un couple, mais c’est évidemment le point de vue d’un homme sur le rapport entre les genres et nous voulions présenter une autre perspective, ne pas avoir une pièce uniquement dédiée à Klimt. (…) Luksch-Makowsky permet d’apporter cela», explique Luisa Ziaja, conservatrice en chef au Belvedere.

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