La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Science-fiction: Dans Mindblow, modifier le passé pour améliorer le présent

La nouvelle série alémanique Mindblow sera diffusée dès dimanche sur SRF1 et Play Suisse. Cette œuvre de science-fiction recèle de l’intelligence artificielle.

Sandra (Sylvie Marinković) et Markus (Dimitri Stapfer). © SRF/Pascal Mora
Sandra (Sylvie Marinković) et Markus (Dimitri Stapfer). © SRF/Pascal Mora

Aurélie Lebreau

Publié le 19.04.2024

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Nous sommes en 2003 et Markus – Mäge pour les intimes (Dimitri Stapfer, vu notamment dans Wilder ou Neumatt) – a tout pour être heureux. Il a 20 ans, porte des jeans baggy et fait de la musique avec sa sœur Eva (Helen Wills) et son pote Robin (Kay Kisela). Mais l’insouciance des débuts se brise le jour où il remplace au pied levé sa sœur, aphone, au casting de l’émission MusicStar.

Paralysé par le trac, il ingurgite une pastille proposée par un autre candidat qui le fait pitoyablement s’écrouler devant les caméras. Cette séquence intitulée «Leider, ne, Mäge/Hélas, non, Mäge», prononcée par le jury, l’a rendu célèbre bien malgré lui et continue de lui gâcher la vie en 2023, alors qu’il fête ses 40 ans. C’est alors qu’il reçoit un SMS de lui-même, envoyé par le Markus vingtenaire…

Tel est le point de départ de Mindblow, la nouvelle série de SRF, signée par Eric Andreae et produite par Sophie Toth, à voir dès demain. Cette œuvre de science-fiction loge une interrogation au

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11